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  • Versus Dystopia
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  • Versus Dystopia
  • Ensemble de 19 photographies.

    Formats et techniques :

    Ensemble de photographies argentiques couleur au moyen format (6X6).
    Format H 100 X L 100 cm.
    Tirages Giclée sur papier Hahnemühle Fine Art, PhotoRag Baryta 315gr,
    contrecollage à froid, colle neutre sur aluminium Dibond,
    montage sur châssis.

    Edition limitée à cinq exemplaires chaque.

    Prix : 3600 €TTC. Plus d'informations.

     

    Ensemble de photographies argentiques couleur au moyen format (6X6).
    Format H 40 X L 40 cm.
    Tirages Giclée sur papier Hahnemühle Fine Art, PhotoRag Baryta 315gr,
    contrecollage à froid, colle neutre sur aluminium Dibond,
    montage sur châssis.

    Edition limitée à cinq exemplaires chaque.

    Prix : 1500 €TTC. Plus d'informations.

     

    Versus Dystopia ou la Poétique de l’Incertitude, est une recherche sur l’Homme* et sa foi.

    Elle s’oppose à l’idée d’une contre-utopie. Elle nourrit l’espoir que lorsque survient quelque chose de grave et qui nous dépasse, l’Homme - les Hommes -  s’élève à une forme supérieure d’humanité et s’éveille à cette réalité sublime qu’est la solidarité.

    Quand il n’est plus possible de continuer avec les habitudes, il faut aller vers un comportement extraordinaire, nous enseigne la philosophie. Dans la philosophie chinoise, il convient alors de « passer le grand fleuve ». Il faut affronter les eaux incertaines pour parvenir à des rives nouvelles. Je me plais souvent à croire que l’incertitude est ce qui nous rend le plus humain, humblement humain.

    La dystopie est un récit qui dépeint une société imaginaire, une société ainsi organisée qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Jusqu’à être une utopie qui devient un cauchemar. La tendance actuelle est à répéter jusqu’à plus soif que le monde va mal, que notre planète se meurt, que notre civilisation est décadente, que l’humain est un lâche ou pire, un traitre. Il m’est apparu important de créer Versus Dystopia.

    L’eau a toujours eu un rôle essentiel dans mon travail photographique.  Depuis Esquives (2002-2003) et Nocturnes (2007), je n’ai cessé de retrouver mes différents héros inondés, submergés, flottants ou noyés dans des paysages humides, de marais, de lacs et de rivières, jusqu’au titre de ma série Mem (2009) dont le sens hébraïque représente à la fois les eaux jaillissantes et celles souterraines.

    Ici encore, avec Versus Dystopia, j’entraîne le spectateur vers l’eau, sur ma terre d’adoption, où je photographie les aubes marécageuses entre Arles et la Camargue. Ces quelques minutes où le soleil se lève, entre étang de Vaccarès, marais salins, plage de Piémanson, rizicultures, rails arlésiens moussus, usine en démantèlement. Je saisis la fragilité d'un lieu, d’une lumière, d’une couleur éphémère. L’aube nous offre une poétique de l’incertitude.

    J’ai cherché pendant des mois mes héros, mes nouveaux martyres à mettre en scène. J’ai trouvé en Michel Rostain et Sébastien Abot, l’un écrivain, l’autre peintre, les représentations d’un glaneur et d’un prophète qui marchent ensemble, se soulèvent, se soutiennent ou se retrouvent. Je les ai imaginés et photographiés dans les poses d’un Saint Christophe de l’école vénitienne, d’un Sisyphe du Titien, d’une Pieta de William Bouguereau etc.

    Ces deux hommes ont incarné tour à tour les héros d’une histoire contemporaine, sans jamais toutefois se rencontrer au cours des prises de vue, puisque chaque photographie est une construction totale de photomontage. Aussi, comme à la façon des livres d’art, ai-je extrait pour chaque représentation, un détail, qui prend naissance en un tirage à part entière que constitue Versus Dystopia part II.

    Modèles : Michel Rostain (écrivain) et Sébastien Abbot (peintre).

    * "Homme" n'est pas utilisé de manière restrictive mais comme le raccourci immémorial pour signifier l'humanité.

    Versus Dystopia
    Homme secourant un autre étendu

    Versus Dystopia
    Homme scrutant la route au pied d'un animal mort

    Versus Dystopia
    Hommes chutant dans les marais

    Versus Dystopia
    Hommes s’extirpant des marais

    Versus Dystopia
    Hommes terrassés au camp

    Versus Dystopia
    Homme au-dessus d’un autre recroquevillé

    Versus Dystopia
    Homme implorant à l'aube

    Versus Dystopia
    Hommes affligés dans un champ en feu avec pierres

    Versus Dystopia
    Hommes débusqués au baraquement

    Versus Dystopia
    Paysage avec voiture et homme camouflé

    Versus Dystopia
    Hommes accablés sous les rais de fumée

    Versus Dystopia
    Homme s’en allant le long de la ligne

    Versus Dystopia
    Homme guettant avec cigarette

    Versus Dystopia
    Paysage d'usine démantelée

    Versus Dystopia
    Homme suppliant dans les débris

    Versus Dystopia
    Homme agenouillé sur une piste

    Versus Dystopia
    Hommes quittant les marais dans la tourmente

    Versus Dystopia
    Homme abattu sur des rails

    Versus Dystopia
    Hommes à l’affût au baraquement


    Ensemble de 19 photographies.

    Formats et techniques :

    Ensemble de photographies argentiques couleur au moyen format (6X6).
    Format H 100 X L 100 cm.
    Tirages Giclée sur papier Hahnemühle Fine Art, PhotoRag Baryta 315gr,
    contrecollage à froid, colle neutre sur aluminium Dibond,
    montage sur châssis.

    Edition limitée à cinq exemplaires chaque.

    Prix : 3600 €TTC. Plus d'informations.

     

    Ensemble de photographies argentiques couleur au moyen format (6X6).
    Format H 40 X L 40 cm.
    Tirages Giclée sur papier Hahnemühle Fine Art, PhotoRag Baryta 315gr,
    contrecollage à froid, colle neutre sur aluminium Dibond,
    montage sur châssis.

    Edition limitée à cinq exemplaires chaque.

    Prix : 1500 €TTC. Plus d'informations.

     

    Versus Dystopia ou la Poétique de l’Incertitude, est une recherche sur l’Homme* et sa foi.

    Elle s’oppose à l’idée d’une contre-utopie. Elle nourrit l’espoir que lorsque survient quelque chose de grave et qui nous dépasse, l’Homme - les Hommes -  s’élève à une forme supérieure d’humanité et s’éveille à cette réalité sublime qu’est la solidarité.

    Quand il n’est plus possible de continuer avec les habitudes, il faut aller vers un comportement extraordinaire, nous enseigne la philosophie. Dans la philosophie chinoise, il convient alors de « passer le grand fleuve ». Il faut affronter les eaux incertaines pour parvenir à des rives nouvelles. Je me plais souvent à croire que l’incertitude est ce qui nous rend le plus humain, humblement humain.

    La dystopie est un récit qui dépeint une société imaginaire, une société ainsi organisée qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Jusqu’à être une utopie qui devient un cauchemar. La tendance actuelle est à répéter jusqu’à plus soif que le monde va mal, que notre planète se meurt, que notre civilisation est décadente, que l’humain est un lâche ou pire, un traitre. Il m’est apparu important de créer Versus Dystopia.

    L’eau a toujours eu un rôle essentiel dans mon travail photographique.  Depuis Esquives (2002-2003) et Nocturnes (2007), je n’ai cessé de retrouver mes différents héros inondés, submergés, flottants ou noyés dans des paysages humides, de marais, de lacs et de rivières, jusqu’au titre de ma série Mem (2009) dont le sens hébraïque représente à la fois les eaux jaillissantes et celles souterraines.

    Ici encore, avec Versus Dystopia, j’entraîne le spectateur vers l’eau, sur ma terre d’adoption, où je photographie les aubes marécageuses entre Arles et la Camargue. Ces quelques minutes où le soleil se lève, entre étang de Vaccarès, marais salins, plage de Piémanson, rizicultures, rails arlésiens moussus, usine en démantèlement. Je saisis la fragilité d'un lieu, d’une lumière, d’une couleur éphémère. L’aube nous offre une poétique de l’incertitude.

    J’ai cherché pendant des mois mes héros, mes nouveaux martyres à mettre en scène. J’ai trouvé en Michel Rostain et Sébastien Abot, l’un écrivain, l’autre peintre, les représentations d’un glaneur et d’un prophète qui marchent ensemble, se soulèvent, se soutiennent ou se retrouvent. Je les ai imaginés et photographiés dans les poses d’un Saint Christophe de l’école vénitienne, d’un Sisyphe du Titien, d’une Pieta de William Bouguereau etc.

    Ces deux hommes ont incarné tour à tour les héros d’une histoire contemporaine, sans jamais toutefois se rencontrer au cours des prises de vue, puisque chaque photographie est une construction totale de photomontage. Aussi, comme à la façon des livres d’art, ai-je extrait pour chaque représentation, un détail, qui prend naissance en un tirage à part entière que constitue Versus Dystopia part II.

    Modèles : Michel Rostain (écrivain) et Sébastien Abbot (peintre).

    * "Homme" n'est pas utilisé de manière restrictive mais comme le raccourci immémorial pour signifier l'humanité.