Versus Dystopia part II
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Ensemble de 18 photographies.
Formats et techniques :
Ensemble de photographies argentiques couleur au moyen format (6X6).
Format H 30 X L 30 cm.
Tirages Giclée sur papier Hahnemühle Fine Art, PhotoRag Baryta 315gr,
contrecollage à froid, colle neutre sur aluminium Dibond, cadre caisse américaine bois, H 41 X L 41 cm.
Edition limitée à cinq exemplaires chaque.
Prix : 1250 €TTC. Plus d'informations.
Versus Dystopia ou la Poétique de l’Incertitude, est une recherche sur l’Homme* et sa foi. Part II propose un resserrement qui met en évidence un détail, partie morcelée d'un tout, à la façon des livres iconographiques.
Versus Dystopia s’oppose à l’idée d’une contre-utopie. Elle nourrit l’espoir que lorsque survient quelque chose de grave et qui nous dépasse, l’Homme - les Hommes - s’élève à une forme supérieure d’humanité et s’éveille à cette réalité sublime qu’est la solidarité.
Quand il n’est plus possible de continuer avec les habitudes, il faut aller vers un comportement extraordinaire, nous enseigne la philosophie. Dans la philosophie chinoise, il convient alors de « passer le grand fleuve ». Il faut affronter les eaux incertaines pour parvenir à des rives nouvelles. Je me plais souvent à croire que l’incertitude est ce qui nous rend le plus humain, humblement humain.
La dystopie est un récit qui dépeint une société imaginaire, une société ainsi organisée qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Jusqu’à être une utopie qui devient un cauchemar. La tendance actuelle est à répéter jusqu’à plus soif que le monde va mal, que notre planète se meurt, que notre civilisation est décadente, que l’humain est un lâche ou pire, un traitre. Il m’est apparu alors important de créer Versus Dystopia.
J’ai cherché pendant des mois mes héros, mes nouveaux martyres à mettre en scène. J’ai trouvé en Michel Rostain et Sébastien Abot, l’un écrivain, l’autre peintre, les représentations d’un glaneur et d’un prophète qui marchent ensemble, se soulèvent, se soutiennent ou se retrouvent. Je les ai imaginés et photographiés dans les poses d’un Saint Christophe de l’école vénitienne, d’un Sisyphe du Titien, d’une Pieta de William Bouguereau etc.
Ces deux hommes ont incarné tour à tour les héros d’une histoire contemporaine, sans jamais toutefois se rencontrer au cours des prises de vue, puisque chaque photographie est une construction totale de photomontage. Aussi, comme à la façon des livres d’art, ai-je extrait pour chaque représentation, un détail, qui prend naissance en un tirage à part entière et qui constitue Versus Dystopia Part II.
Modèles : Michel Rostain (écrivain) et Sébastien Abbot (peintre).
* "Homme" n'est pas utilisé de manière restrictive mais comme le raccourci immémorial pour signifier l'humanité.
Versus Dystopia part II
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Ensemble de 18 photographies.
Formats et techniques :
Ensemble de photographies argentiques couleur au moyen format (6X6).
Format H 30 X L 30 cm.
Tirages Giclée sur papier Hahnemühle Fine Art, PhotoRag Baryta 315gr,
contrecollage à froid, colle neutre sur aluminium Dibond, cadre caisse américaine bois, H 41 X L 41 cm.
Edition limitée à cinq exemplaires chaque.
Prix : 1250 €TTC. Plus d'informations.
Versus Dystopia ou la Poétique de l’Incertitude, est une recherche sur l’Homme* et sa foi. Part II propose un resserrement qui met en évidence un détail, partie morcelée d'un tout, à la façon des livres iconographiques.
Versus Dystopia s’oppose à l’idée d’une contre-utopie. Elle nourrit l’espoir que lorsque survient quelque chose de grave et qui nous dépasse, l’Homme - les Hommes - s’élève à une forme supérieure d’humanité et s’éveille à cette réalité sublime qu’est la solidarité.
Quand il n’est plus possible de continuer avec les habitudes, il faut aller vers un comportement extraordinaire, nous enseigne la philosophie. Dans la philosophie chinoise, il convient alors de « passer le grand fleuve ». Il faut affronter les eaux incertaines pour parvenir à des rives nouvelles. Je me plais souvent à croire que l’incertitude est ce qui nous rend le plus humain, humblement humain.
La dystopie est un récit qui dépeint une société imaginaire, une société ainsi organisée qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Jusqu’à être une utopie qui devient un cauchemar. La tendance actuelle est à répéter jusqu’à plus soif que le monde va mal, que notre planète se meurt, que notre civilisation est décadente, que l’humain est un lâche ou pire, un traitre. Il m’est apparu alors important de créer Versus Dystopia.
J’ai cherché pendant des mois mes héros, mes nouveaux martyres à mettre en scène. J’ai trouvé en Michel Rostain et Sébastien Abot, l’un écrivain, l’autre peintre, les représentations d’un glaneur et d’un prophète qui marchent ensemble, se soulèvent, se soutiennent ou se retrouvent. Je les ai imaginés et photographiés dans les poses d’un Saint Christophe de l’école vénitienne, d’un Sisyphe du Titien, d’une Pieta de William Bouguereau etc.
Ces deux hommes ont incarné tour à tour les héros d’une histoire contemporaine, sans jamais toutefois se rencontrer au cours des prises de vue, puisque chaque photographie est une construction totale de photomontage. Aussi, comme à la façon des livres d’art, ai-je extrait pour chaque représentation, un détail, qui prend naissance en un tirage à part entière et qui constitue Versus Dystopia Part II.
Modèles : Michel Rostain (écrivain) et Sébastien Abbot (peintre).
* "Homme" n'est pas utilisé de manière restrictive mais comme le raccourci immémorial pour signifier l'humanité.